Le 7 avril 2005, ma vie a chager, elle a literalement basculer. La journee a commencer comme toute les autres. Soso et Lynn sont ariver a 6:50, comme toute les matin ou leur maman travaillais. Suite aux petits programe du matin, les filles, avec gigi, bien sur, sont aller jouer dans la salle de jeux. Les amis ont rie au eclat. Lynn a bien fait rire Gigi. Le temps etais aux rire et a la rigolade. La temperature etais plutot mosade, mais cetait telelemnt pas importante pour les filles car notre Maude, notre professeur de danse venais faire un de ses fameux cours de danse.
Donc due au fait que notre petit clow (surnom donne a Lynn) avais beaucoup jouer et avais bruller beaucoup d’energie, la petite bouteille d’eau, et hop au lit pour un petit dodo bien meriter. Ca pas pris 10 minutes qu’elle etais deja rendu dans les bras de morphee. Le temps fit parfais car Maude etais ariver pour faire dansser les filles.
Durant l’heure, les filles se sont bien ammuser, et ce sans se douter du drame qui se preparais a quelque pas d’eux, dans la chambre voisine. Suite au depat de maude, c’etais le temps du diner. Miam miam, je me souvien que les filles et gigi ont manger tres bien, mais je suis dans l’incapasiter de vous dire ce qu’elles ont manger, ma memoir comment a cette instent a defaillir.
Le diner est fini, les mains sont laver, les pipis sont fait, c’est le debut du rituelle des dodos. Je commence par aller coucher les grandes filles. Je prend soins de ne pas ouvrir la lumiere afin de ne pas reveiller Lynn tout de suite, car j’aime mieux preparer sont diner en premier lieux, comme ca aussitot qu’elle se leve si elle a faim, elle peux manger.
Je vais cherche la petite, encore une fois sans ouvrir le lumiere, pour ne pas, cette fois, deranger les plus grande qui sont deja coucher depuis 10 minutes. Je lui retir sa petite couverte avec le plus grand soin. Tous ce que je peux voir dans la chambre sombre c’est sont petit vissage angelique qui me semble si paisible. Quand je la prend dans mes bras, elle est molle et chaude, mais c’est normal, elle dans son someil profond, elle dort. Alors je la colle contre moi, pour la proteger, afin de m’assurer de ne pas la reveiller dans la chambre.
Je la couche sur le plancer du salon, afin de la reveiller en lui fessant des peties minouche sur le ventre. Mais le ventre ne bouge pas. Je suis incapable de la voir respirer. Je tente de la reveiller mais rien. C’est a aprtir de ce moment presie que le temps ses arreter. Incapable de respirer, dans un etat de panique complet je m’empare du telephone, et je fais le 911. Je pensais m’evanouir. La damme au telephone etais d’un calme rasurant. Mois meme former de la croix rouge, je ne me souvenais plus de rien. Elle me demander si sont coeur batais. Je sais tres bien que pour un bebe nous devons prendre sont coeur a la veinne braquialle, mais la tout ce que je sent c’est mon coeur qui bat a tous rompe.
De plus j’ai beau tenter de voir ca respiration, de la sentir, j’en suis incapable. La dame ma dit de lui faire le masage cardiac, par chance qu’elle etais la car dans l’enervement je ne me souvint plus comment le faire. 5 masage 2 respiration 5 masage 2 respiration, a oui c’est vrai je doit prendre le nez aussi. L’air passe. Je sais tres bien que je ne doit pas soufler trop fort, pour ne pas la fere vomir. Mais je me dit, si elle peux vomir, ca veux dire qu’elle est revenue a elle. 5 massage, 2 respiration, 5 masage 2 respiration. Je commence a entredre les sirene des ambilance au loin, mais je ne m’arrete pas 5 massages 2 respiration. A cette instent, la dame du 911 me dit que le SMU est rendue enbas et que je doit aller leur ouvrir la porte. J’ai allors racrocher sans lui dire merci.
Le monsieur des SMU, a pris la releve et c’est la que la situation qui me semble si surealiste a vraiment pris une tengent incontrolable. Car jusqu’a la, je controlais la situation, mais la, j’ai vraiment lesser mes nerf prendre la releve de mon cerveau. L’etat de choque m’envaie en entier, et je suis incapale de me controler. J’eclate en larme et je temble comme une feuille.
A cette instant presit, une personne merveilleuse, vien cogner a ma porte. Ma voicine d’en bas, elle aussi responsible d’un service de garde en milieu familial avec sont marie. Inquieter par l’ariver des service medial d’urgence, elle est monter rapidement afin de pouvoir voir si elle pouvais me donner un coup de main.
Elle est rester tres calme, j’espere un jour pouvoir etre capable de reagir comme elle un jour face a des evenement si dure. Elle a pris en chagre de telephoner au parent de la garderie pour leurs demander de venir chercher leurs enfants le plus rapidement possible car la garderie devais fermer d’urgence. Elle me demandais de rester dans la cuisine, mais moi tous ce que je voulais faire c<est de voir Lynn pour voir comment elle alais. Entre les telephone des parent elle prend l<initiative de telephoner a une autre rsg qui reste a 3 coin de rue.
Les seuls telephone que jai fait c’est les parents de la petite lynn. Vue que je ne suis pas capable de rejoindre la maman, je telephone au papa, et le lui dit que Lynn va pas bien et q’il doit venir ici au plus vite. Mais j’ai pas le temps de finir l’apelle que je pert la ligne. Je lui est retelephoner au travail, mais il etais deja partie. Je ne sais pas a quel endroit. Je ne crois pas lui avoir dit de venir ici ou a l’hospital. Par chance il avais pris l’innitative de venir ici. Apres 4 ou 5 tentative j’ai fini par rejoindre le travail de la maman, pour me faire repondre: mais la elle est sur la ligne de montage, et c’est la qu’avec le reste de calme qui me restais j’ai dit, le plus poliment possible vue la situation, je m’en fou, je suis la garderie de ses filles et c’est super urgent. Ca pris que quelque seconde et la maman etait au bout du fils. Et c’est a ce moment presie ou je crois que j’ai vraiment perdue une occation de me taire. Je lui est dit sechement: Lynn a respire plus et elle les ambulence sont ici pour elle. C’est quand la maman a eclater en sanglot, que je me suis rendue compte de ce que je venais de faire et dire.
J’aurrais telement voulu etre acoter d’elle pour la serrer dans mes bras. C’est alors que la reseptioniste a repris la ligne et ma demander ce qu’il se passait, alors a ce moment presie j’ai pue lui dire que lynn partais a ste-justinne d’urgence. La receptioniste ma dit qu’elle s’ocupais de la maman.
Par la suite j’ai telephoner a mon marie car j’avais vraiment besoin de lui, c’etais a mon avis une question de grande urgence. Mais la je ne ferrais pas la meme erreur qu’avec la maman, je lui est seulement dit, vien a la maison, il est arriver de quoi de grave a lynn.
Sur le chemain de la maison, il a croiser l’ambulance de lynn qui etais escorter par une police qui lui ouvrais le chemain.
Une fois l’ambulance partie, c’est a ce moment que les policier on dessendue en groupe chez moi, il devais y avoir facilement 6 ou 7 policier dans l’apartement. Ils aurais pue etre 50 … tant que je soi entourer de mon monde. Il y avais plein de monde pour moi. J’etais bien contente de la voir la car les pressieux conseil qu’elle ma aporte,fut tres benifique, meme si la police n’a pas aimer ses coinseil. Avec le recuile je peux afirmer que c’est grace a ses conseils et grace a la C.S.Q. que le Centre de la petit enfance le jardin des reves a encore un service ouvert et avec un service de grande qualiter. Car avec la police il aurais bien pus interpreter ce que je leur aurrais dit de facon biaiser et faire fermer mon service. Et par la suite je ne sais pas ce que le C.P.E. aurrais pus avoir comme consequence.
Mais losque l’enqueteur est entrer dans le prortais, il a vider literalement la place tous le monde devais quiter, les rsg, les amis, la csq, mon marie et meme les enfants qui etais encore present. Par chance que j’avais des voisinne pas trop loin, car le C.P.E. n’avais aucun plan d’urgence exatraordinaire pour une situation avec de multiple etats de choque. Car il fuat etre realiste nous avions moi la rsg les rsg qui sont venue d’eux meme, les parents de la petites lynn et les parent d’aumoin 2 autres enfants qui etais en etats de choque a se moment la, nous le sortion de facon differente. Je devais rester dans le salon assise, sans parler a personne pas meme au telephone ni a mon marie et encore moin a mes avocats.
J’etais confiner dans le salon, je ne pouvais pas y sortir. Les policiers me forcais a m’assoir, et a boire luer stupide verre d’eau. Je ne voulais pas etre la, je voulais etre partout sauf la. Je me santais juger coupable avant meme que les enquete soit fait. Quesque j’avais fait pour etre treter comme une coupable? J’etais a bout de nerf, je ne sentais pas bien.
A la longue de boir de l’eau, jai fini par avoir envie d’aller a la salle de bain. Quand j’ai demander au policier, il mon dit minute. Il est aller demander a son boss. Celui ci a dit oui, mais il a demander a une femme de rester dans le cardre de porte. Je ne sais pas si il avais peur que je me sauve par la fenetre comme dans les films, mais je reste au deusieme etages.
Dans mon coin du salon, j<entendais des bride de conversation, ce que j’ai entendue c’est: LE LINGUE DOIT SUIVRE LE CORP. mais sans aucune explication. La je me possais pleinde question, mais il ne me l’ont pas dit officiellement, alors mon cerveux a propablement lesse de coter cette information. Alors je me suis lever, et du coup un policier ma suivie, j’etais pas encore dans le cardre de porte du salon. Et je leur aie dit, si vous chercher le linge de la petite, il est ici, en lui presentent le linge pres de la porte. Je couche tres souvent la petite sans vetement, car quand elle dort elle a tres tres chaud, et j’ai peur qu’elle setoufe avec ses chandail tres grands.
Par la suite je retourne m’assoir ssur le divant. Il me demande encore si je veux aller a l’hospital, et je refuse pour la deusieme fois. Car dans me tete, je me disais que si je part a l’hospital, et qu’il m’hospitalise, je peux dire adieu a mes vacance en europe cette ete. Et de toute facon je ne crois pas dutout en eux. J’ai l’impression qu;il me cache des chosse.
Durant que j/atendais sur le divant, le policier assie a ma droite a recut un apelle sur sont celulaire. Je ne sais pas a qui il parlais, mais il lui a dit: je suis sur une sene, et partie comme c’est la ca va etre tres long.
Je ne sais pas combien de temps apres, mais un monsieur est venue me voir pour me demander si j’etais prete a lui parler, alors je lui est repondue, non pas avance que je parle avec mon avoca au criminel. Alors il ma demander ou se trouve les papier de Lynn. Dossier personelle, autorisation parental etc. je lui est dit q’il etais partie avec les SMU. Je lui demande pourquoi il vuex les avoir, c’estais aux SMU de les avoir pas au policiers.
C'est allors qu'il me dit froidement, c’est la procedure quand il y a mort d’enfant garderie. A ce moment precit, je suis certaine que mon coeur a aretter de batre. J’etais a nouveau incapable de respirer. Je n’avais plus le control d’aucun de mes muscle. Je ne pouvais plus me controler, ce que je voulais c’etais d’avoir mon marie aupres de moi. A cette instent presit ma vie venais de s’efondrer. Qu’alais t-il se passer? c’est sur que je vais avoir un doccier criminel, ou un poursuite au civile. Comment je vais faire pour gagner ma vie? du moin ce qui en reste. Pourquoi a moi? Je donnerais ma vie a la place de celle de Lynn, mon petit clown, mon reillons de soleils. De quoi qu’elle est morte? C’est tu contagieux? Comment avertir les parentes des autre enfants? Soso… est tu corecte elle? pour les parents… ca doit etre horrible? Pouquoi a moi? Pourquoi ici? Je ne veux plus rester ici, je veux redemenager. Bien sur je me suis posser toutes ses question dans ma tete. Je ne saisais de me jouer des films dans ma tete.
C’est a ce moment que le policier en chef en dit, j’ai le droit de toubliger a aller a l’hospital vue ta situation, pour ta santer, et je t’oublige a y aller. Et il a appeler les SMU. A ce moment j’ai comme lacher psycologiquement le morceau. Je lui est dit: parfais je vais y aller. C’est a ce moment la que j’ai revue mon marie. Je croiyais que ca fesais une heures qu’il avais ete obliger de partir de l’apart. Mais je mem suis rendue compte qu’il etais passer 17:00. Ca fesais plus de 5 heures que j’tais dans ce tourbillon infernal.
Rendue dans l’ambilance, je pouvais enfin serrer mon marie dans mes bras. Alors il ma demander pouquoi je ne voulais pas sortir plus rapidement. Je lui est expliquer que si je suis hospitaliser 6 mois avant un depart a l’etrasnger, mon assurance voyage ne tien plus. A ce moment la l’ambilanciere ma demander, pis cetais tu fonder le cas de meningite. Quoi il pence que c’est la meningite qui a tuer Lynn? Elle ma dit c’est rien de sur, mais il cherche dans se chemain la. Et la je me suis mis a pleurer, a non pas la meningite, c’est super contagieux. Il faut avertir les autres parents. Je ne veux pas qu’il y aie d’autre enfants qui y passe, surtout pas sophie, non non pas deux dans la meme famille.
Rendue a l’hospital, je rencontre l’infirmiere de triage, et elle me demande comment je vais. Elle me demande si jai mal a quelque part, je lui dit oui, jai comme des crampe au niveau du coeur. Elle ma alors prescrit un electrocardiograme. Jai atendue 2 heures dans la salle avant dy aller. Durant ce temps une RSG, la presidente de mon syndicat plus la D.G. de mon CPE, sont venue nous rejoindre. ca fEsais du bien d’avoir des nouvelles d;eux, et des autres. Quand il mon apeler, ca durer 5 minutes. Tout me samblais beau. Je suis retourner dans la salle d’atente pour avoir le resultat. Ma petite perle, qui est presidente de l’ADIM, me demandais constament comment j’alais. Elle voulais toujours me gaver de nouriture. Je leur ai dit, que s’elles voulais aller manger, qu’elles pouvais car moi je devais attendre les resultats de mes teste et de voir un medecin. Elles onts bien fait d’aller manger, car ca pris 3 heures avant que je repace devant le docteur. Et cetais durant que jatendais la visite du medesin que mes deux comparse sont arriver. Elles voulais venir me voir avant que le police arrive, car il y avais deux polici’ere qui me cherchais. La le niveaux de stesse a augmenter d’un coup. Que me voulais ses deux policieres?
Le soir, je voulais demenager, je ne voulais plus rester dans cette apart. Je ne voulais plus de garderie, et que si j’avais a adopter un enfants, c’etais pas avant qu’il ou qu’elle ateindre l’age de 4 ans. Et mon marie me dissais toubonnement, pas de probleme, ca tombe bien les boites ne sont pas tous defaites.
Je suis aller coucher chez mes parent a repentigny, je pouvais retourner dans l’apart, mais je ne voulais pas y aller. Quand j’ai telephoner a mon pere, il a ete super gentil, il na pas posser de question sur les evenements, il ma seulment dit: le lit seras pres, ne fait pas trop de bruit, le chambreur va etre en bas. Le soir j’ai tres tres peu dormie, mais je me suis reposer dans un coin calme.
:ange75: